Quando chega a altura de fazer os ricos pagar, conforme a bíblia da esquerdalhada, aumentando a «taxa adicional de solidariedade» (esta criatividade ao serviço do esbulho estatal comove-me) de 2,5% para 5% nos rendimentos superior a 250 mil euros o resultado são 25 milhões de euros. Os 2,5% adicionais valem menos de 1/4 de uma redução de 1/8 da percentagem da taxa de solidariedade, de 4% para 3,5%.
Conclusão, os ricos nunca pagaram nem pagarão a crise. Quem paga a crise é a classe média, como se sabe desde pelo menos o Cardeal Mazarino.
«Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.
Mazarin : Oui, c’est impossible.
Colbert : Alors, les riches?
Mazarin : Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.
Colbert : Alors, comment fait-on?
Mazarin : Colbert, tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le derrière d’un malade) ! il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser…C’est un réservoir inépuisable.»
LE DIABLE ROUGE" de Antoine RAULT
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